jeudi 5 octobre 2017

Merci pour ce si joli moment

Très joli moment à visionner ici.

 Si Capucine ne vous arrache pas une larme, vous avez un cœur de pierre.

J’ai été Capucine. Ce n’était pas mon intelligence qui était remise en cause par un faiseur de buzz à tout prix, mais ce à quoi j’ai dédié ma vie : mon engagement de bénévole dans le handicap et l’autisme.

Non, l’audimat, le public avide de sensations de plus en plus fortes ne justifie pas le manque de professionnalisme de journalistes, chroniqueurs et autres animateurs qui n’hésitent pas à piétiner une vie, un honneur.

L’information exige qu’on la recoupe, et qu’on entende toutes les parties avant de publier. Le métier de journaliste mérite bien mieux que d’être l’instrument de personnes se livrant à des pratiques diffamatoires. Vous ne serez pas tous des Albert Londres, des Pulitzer, des Kessel, des Camus… vous pouvez cependant essayer de faire en sorte qu’ils ne se retournent pas trop souvent dans leur tombe.

Et si on a commis l’erreur de ne pas vérifier l’information avant de jeter en pâture l’honneur et la vie d’une personne, il est encore plus grave de persister en refusant un droit de réponse ou en ne l’accordant que diminué, tronqué, alors qu’on connaît la vérité.

Guy Carlier a eu l'intelligence de s'excuser et non pas d'essayer de trouver des justifications où il n'y en a pas.

Puisse cet instant « contaminer heureusement » certains chroniqueurs de ONPC, voire d’autres moins célèbres, plus locaux. Le buzz n'est pas tout. Et si vous sacrifiez votre âme à votre carrière, c’est que la 1ère ne vaut pas grand-chose.




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